ThePlaylist (Oliver Lyttleton)
C’est au moins aussi bien que les 3 précédents films de Reichardt, avec le même ADN, demeuré intact (…) Si le film fonctionne –et il fonctionne, ô combien ! – il le doit beaucoup à Jesse Eisenberg (…) L’acteur sera sans doute associé à Mark Zuckerberg juste à la fin de ses jours, mais ici, fini le moulin a paroles, l’aisance et les tics : c’est une vraie révélation (…)
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Slate (Jean-Michel Frodon)
Rares sont les films qui réussissent à construire autant d’empathie avec leurs personnages tout en conservant les doutes sur ce qu’ils font, rares sont les œuvres où les ressorts tendus du thriller s’activent avec cette douceur capable de respecter les humains et les arbres, les lumières et les matières.
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The Hollywood Reporter (David Rooney)
Après une première géniale qui mène crescendo à une longue séquence au suspense calme mais puissant qui vous colle à votre siège, le film perd un peu de son souffle dans une seconde moitié au rythme plus languissant. Mais cela reste une une captivante réflexion sur la violence radicale et ses retombées.
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Les Inrocks (Jean-Baptiste Morain)
[Kelly Reichardt] parvient toujours, film après film, avec une économie de vocabulaire cinématographique époustouflante (…) à nous raconter des histoires singulières (…) Entre le film sociétal et le film noir, Night Moves est un film vraiment étonnant.
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The Guardian (Xan Brooks)
Reichardt raconte une histoire explosive, et la manipule avec précision et soin, comme si elle transportait de la nitroglycérine instable.
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Le Figaro (Marie-Noëlle Tranchant)
Avec "Night Moves", l'Américaine Kelly Reichardt ne retrouve pas le charme de son film d'errance Wendy et Lucy (…) C'est lent, mou, informe, sans nerfs.
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Wendy et Lucy