© Space Rocket Nation, Gaumont & Wild Bunch
Des applaudissements, certes, mais aussi quelques sifflets pour Only God Forgives #Cannes2013
— AlloCiné (@allocine) 22 mai 2013
Dédié à Jodorowsky, Only God Forgives donne tout un autre sens à l'expression "Prendre un verre avec Ryan Gosling" #cannes2013
— AlloCiné (@allocine) 22 mai 2013
POUR :
[A l'affiche] “Only God Forgives” : un film d’une noirceur prégnante et séduisante ow.ly/lfyxj
— les inrocks (@lesinrocks) 21 mai 2013
#cannes2013 Only God Forgives ne merite vraiment pas les sifflements : c'est l'un des rares films qui propose autre chose formellement
— ecran noir (@ecrannoir) 22 mai 2013
#OnlyGodForgives J'ai adoré l'expérience audiovisuelle et les thèmes traités. Ça m'a retourné... #Cannes2013
— Anthony Reboul (@CinemaDriver) 22 mai 2013
CONTRE :
Certains moments avec Ryan Gosling sont à la limite de la parodie. #Cannes2013 #OnlyGodForgives
— David Honnorat (@IMtheRookie) 22 mai 2013
La plus belle qualité d'Only God Forgives ? Sa courte durée (90 min.). Une coquille encore plus vide que celle de Drive... #Cannes2013
— Marc-André Lussier (@MALussier) 22 mai 2013
#OnlyGodForgives photographie et musique magnifique, scénario en carton, 1h30 douloureuses, Gosling mono expressif. Déception #cannes2013
— Nicolas Balazard (@NicoBalazard) 22 mai 2013
#OnlyGodForgives Notre verdict (2/2): R.Gosling, inexpressif, ne sauve pas du naufrage. Violent. Sorte de Tarantino sous Prozac #cannes2013
— Culturebox(@CultureboxFTV) 22 mai 2013
#Cannes2013 only god forgives, une vraie catastrophe artistique. goodbye #nicolaswindingrefn
— @clapmag (@Clapmag) 22 mai 2013
T.I. et C.C.