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    Un contrat de 30 millions de $ pour Simon Baker

    Encore loin de Charlie Sheen, Simon Baker, l'interprète du facétieux "The Mentalist", vient tout de même de rejoindre les hautes sphères des acteurs les mieux payés de la télé américaine. Baker vient de signer un nouveau contrat auprès de Warner Bros. Television, s'engageant pour une septième saison pour la modique somme de 30 millions de dollars.

    Après de longues années difficiles, Simon Baker a aujourd'hui de quoi sourire. Celui qui a connu la gloire à près de 40 ans vient de signer un nouveau contrat de plus de 30 millions de dollars, auprès de Warner Bros. Television, qui produit The Mentalist. Il s'agit en réalité d'une extension de son contrat préexistant, cette somme incluant donc le montant promis auparavant à Baker. En contrepartie, l'acteur s'est engagé à étendre son contrat d'une année supplémentaire. Etant donné que son contrat précédent s'étalait sur une période de six ans, The Mentalist vient donc de se payer une septième saison d'office. En plus de cela, l'un des termes du contrat permet à Simon Baker de devenir producteur du show de CBS à partir de la cinquième saison et de toucher une part supplémentaire des royalties de la série.

    Avec ce nouveau contrat, Simon Baker va rejoindre Hugh Laurie, Mark Harmon ou encore Laurence Fishburne dans la liste des acteurs de dramas les mieux payés. Pour autant, il est encore loin de dépasser les cachets de Charlie Sheen, qui touche 1.2 millions de dollars pour un seul épisode ! Dans son contrat préexistant, Baker touchait 250 000 dollars par épisode.

    Etant donné que les aventures de Patrick Jane continuent de passionner le public (aux Etats-Unis et à l'étranger), que les DVD se vendent bien et que la Warner vient de vendre  les droits de rediffusion à TNT pour une coquette somme, il n'est pas du tout étonnant que les Studios aient voulu s'assurer les services de Baker pendant encore une année supplémentaire. Reste à savoir si ses co-stars vont également bénéficier de nouveaux avantages.

    Raphaëlle Raux-Moreau avec Deadline et le New York Post

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