Sigourney Weaver est pour la première fois l'héroïne d'une série : elle a choisi Greg Berlanti et sa nouvelle série "Political Animals". Découvrez ce que les journalistes américains en ont pensé !
Synopsis : Un aventurier célèbre, star de la télévision, est porté disparu lors d'un voyage au fin fond de l'Amazonie. Durant des années, accompagné de sa femme et de son fils, le Dr Emmet Cole a partagé - via son show télé - ses découvertes de contrées éloignées. Aujourd'hui, la chaîne finance une expédition filmée façon télé réalité pour tenter de le retrouver. Une équipe de cameramen suit de près les recherches menées entre autres par la famille et des amis du disparu. Tous embarquent à bord d'un bateau qui remonte l'Amazone et va les amener à faire des rencontres pour le moins effrayantes...
Créé par Oren Peli et Michael R. Perry.
Avec Eloise Mumford, Thomas Kretschmann, Joe Anderson, Paul Blackthorne, Leslie Hope ...
Selon TV Guide
"Si l'idée d'un 'Lost en Amazonie' et celle de suivre une série horrifique semaine après semaine vous attirent, alors faites de la place dans votre planning pour The River, la chose la plus excitante de cette mi-saison juste après Smash (...) En tant que grand fan du genre, j'ai dévoré les cinq premiers épisodes (sur 8), qui ont dépassé mes attentes tant la panique pour les personnages est totale chaque jour qui passe et leurs nuits sont encore plus angoissantes. Si vous êtes familier à l'univers d'Oren Peli (Paranormal Activity) alors vous savez que les passages les plus redoutables sont ceux où les héros se reposent tandis que les caméras continuent de tourner et passent en mode infrarouge, révémant ce que personne ne peut ou ne veut voir. De la même manière, la narration nous entraîne dans des endroits où l'on ose habituellement pas s'aventurer..." ****
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Selon le New York Post
"Le programme télévisé à l'intérieur de la série permet à l'histoire d'avancer et de reculer dans le temps à loisir alors que l'équipe regarde de vieilles images tournées par Cole avant de disparaître et qui pourraient donner des indices sur ce qui lui est arrivé. (...) Beaucoup de bonnes choses au bout du compte même si tout semble un peu trop forcé. En principe, tous les mystères seront résolus au terme des huit épisodes. Mais répondront-ils à la question la plus cruciale de toutes : qu'est-ce qu'un jeune homme de 16 ans fait encore avec un nounours ?" ***
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Selon USA Today
"Si vous êtes à la recherche de profondeur et de bon sens, détournez le regard de The River, intellectuellement parlant plus proche du film Perdus dans l'espace (Lost in Space) que de la série Lost. Si, en revanche, vous êtes d'humeur à prendre une dose hebdomadaire de frayeurs sans images gores, du genre qui vous fait cauchemarder mais qui ne vous retourne pas l'estomac ou qui ne pousse pas vos enfants à poser des questions embarrassantes sur diverses perversions sexuelles à la American Horror Story, ce voyage est fait pour vous !" ***
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Selon le Boston Globe
"Le travail autour du personnage d'Emmet Cole est moins convaincant que le reste, plus mélodramatique. Leslie Hope et Joe Anderson font de leur mieux pour mettre en lumière la douleur qu'ils ressentent et tout l'amour qu'ils ont pour lui, mais Hope tient le haut du pavé, du moins au début, malgré le "il faut qu'on le retrouve" systématique qui pourrait vite lasser, alors que l'anglais Anderson
peine à convaincre avec son accent américain forcé. Par contre, Paul Blackthorne est sans conteste un vrai cadeau dans le rôle du producteur manipulateur." ***
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Selon le Los Angeles Times
"Comme beaucoup de films ou de séries d'horreur de notre époque, The River propose un condensé des répliques favorites et clichées du type "Non, ce n'était pas un animal", "Il faut que je te montre quelque chose tout de suite" ou encore "Mon Dieu, selon toutes les cartes qui existent, cet endroit n'a jamais existé !". Elles sonnent comme de bonnes vieilles amies dont on ne peut pas excuser la banalité mais que l'on chérit quand même." ***
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Selon le Philadelphia Daily News
"The River rend pertinente l'idée que, parfois, ce qui nous fait le plus peur n'est pas forcément ce que l'on voit clairement mais ce qui est brouillé, ou suggéré (...) Les fans d'American Horror Story et de son robinet à images gores seront peut-être en manque de faux sang mais je préfère plus de subtilité et il y en a beaucoup dans cette série, en particulier dans le deuxième épisode." ***
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Selon le Huffington Post
"The River n'est pas mauvaise, et certains de ses éléments sont pertinents, mais elle est très significative de l'ère post-Lost que connaît actuellement ABC. Cela fait six ans que la chaîne multiplie les tentatives de reproduire le même succès en imitant la formule de la série culte mais avec des concepts plus simples et une exécution moins imaginative. Du coup, pour ceux parmi nous qui ont aimé Lost et l'étrange addiction qu'elle procurait, avec ce sentiment d'évolution constante, ces copies ne nous font que la regretter encore plus." **
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Selon le Denver Post
"Selon le seuil de tolérance de chacun, le pilote de The River est soit une présentation ridicule mais qui peut servir de base à un "jeu à boire" où on avale une gorgée d'alcool à chaque fois qu'il y a un noir à l'écran, soit une aventure au-delà du réel qui doit tout à Lost." **
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Selon le Chicago Sun-Times
"Présenté comme un thriller, ce programme se donne du mal pour être terrifiant à la manière de Paranormal Activity. Si bien qu'il finit par être banal et, bien pire, ennuyeux. Je fondais beaucoup d'espoir en lui compte tenu du casting solide et de la présence à la production exécutive de Steven Spielberg, mais après avoir nagé deux heures dans sa boue, je ne peux que dire que The River dévale la pente à une vitesse phénoménale !" **
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Selon le New York Daily News
"Tous ces personnages ne sont pas très approfondis à première vue et aucun ne semble intéressant de toute façon. Impossible donc de se laisser embarquer dans leur quête. C'est sans doute pour cela que le drame humain laisse rapidement place au fantastique." **
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Selon le New York Times
"Le mix entre la narration de Lost et le style de Paranormal Activity ne s'avère pas franchement intriguant ou effrayant, et le fait qu'il n'y ait pas du tout d'humour n'arrange rien". *
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