Sigourney Weaver est pour la première fois l'héroïne d'une série : elle a choisi Greg Berlanti et sa nouvelle série "Political Animals". Découvrez ce que les journalistes américains en ont pensé !
Synopsis: Au ranch de Southfork, les Ewing se déchirent sur fond de trahisons, secrets et autres drames. John Ross et Christopher, les fils respectifs de J.R. et Bobby, reprennent les affaires familiales, poursuivant par la même occasion les querelles de leurs pères.
Créée par Cynthia Cidre
Avec : Jesse Metcalfe, Josh Henderson, Jordana Brewster, Julie Gonzalo, Brenda Strong, Patrick Duffy, Linda Gray, Larry Hagman
Date de lancement aux Etats-Unis : 13 Juin 2012
Bande-Annonce :
Selon Newsday :
"Même avec la présence de Hagman, Linda Gray (qui reprend son rôle de Sue Ellen, l’ex-femme de J.R.), et Duffy, on se trouve en face d’un riche potentiel pour la nouvelle génération. Est-ce que TNT a raté son coup ? Pas du tout. La réécriture de la showrunner Cynthia Cidre est astucieuse, pleine de réflexion, et marquée par la perfidie usuelle. Tout le monde a un secret (même Bobby), et J.R. a toujours un coup d’avance. La nouvelle série est centrée sur les jeunes acteurs, mais les vétérans lui donnent du cœur et de l’amour. Hagman, Gray et Duffy donnent même l’impression d’y prendre beaucoup de plaisir. Cette version, au lieu de n’être qu’un remake, est une continuation, et semble être bien partie sur la voie du succès." ****
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Selon Variety :
“Après un grand nombre de reboots de soaps avec les personnages boutonneux de la CW, les attentes pour Dallas (2012) n’étaient pas très élevées. Mais la série de la TNT est fidèle à ce qu’elle doit être, ancrée dans la culture Texane, légère, et ne cherche pas à aller dans la facilité. Le show marie habilement l’ancienne version avec la nouvelle, mettant en place une toute fraîche génération d’Ewings crédibles, incorporant la vieille garde. Ces dernières années, le public a vu passer plusieurs séries se déroulant au Texas – de Lone Star à GCB – mais il n’y en a aucune qui arrive à la cheville de l’ancien cru." ****
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Selon The Huffington Post :
"TNT, chaîne du câble en plein essor, a eu l’intelligence de revisiter la franchise Dallas (…) Il existe entre Hagman et Duffy une alchimie qui fait des étincelles à l’écran, alchimie qu’on ne retrouve pas encore entre les autres membres du cast (…) Ce qui est plus naturel, étant donné que l’ancien Dallas était surtout centré sur le conflit autour de Southfork et la lutte éternelle entre l’avidité de J.R. et la volonté de Bobby à devenir un homme meilleur. La productrice déléguée du nouveau show, Cynthia Cidre, réalise un bon travail en incorporant les membres de la nouvelle génération aux conflits de longue date qui ont secoué le clan pendant des décennies : le fils de J.R. (Josh Henderson) semble avoir les dents aussi acérées que celles de son vieux père, et comme son père, Christopher Ewing (Jesse Metcalfe) est fondamentalement un type bien qui se retrouve dans des situations complexes à cause de dilemmes domestiques et professionnels. (…) Les scénaristes du show savent de quoi ils parlent également : ils installent trahisons, complots retors, amours enchevêtrés. Et, même si certains des jeunes acteurs sont un peu fades et les anciens peu subtils, je n’ai pas pu m’empêcher de dire 'Encore, s’il vous plaît' à la fin de la plupart des épisodes (…) Des deux jeunes héritiers Ewing, Henderson se démarque davantage dans son interprétation de John Ross (…) Comme Christopher, le fils de Bobby, Metcalfe est compétent, mais sans plus. Callard Harris de Sons of Anarchy, qui joue un nouveau venu dans le clan Ewing mais qui n'est pas aussi doux qu’il n'y paraît, est un acteur à suivre. (…) Tout bien considéré, c’est un show qui repose avec force sur ce qu’il sait faire le mieux : nous servir des histoires rocambolesques made in Texas, tout en tentant d’y inclure par-ci, par-là, un peu de véritable émotion." ***
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Selon Slate :
“J.R a ressuscité, ce superbe antéchrist, avec le reste de la famille Ewing dans la toute nouvelle série Dallas. Ce n’est pas le show le plus subtile à la télévision – je n’ai aucune idée de quel genre de personne organise un rendez-vous secret au Cowboy Stadium sur la ligne des 50 yards – Mais je prends le pari que ce nouveau Dallas, la suite de la série originale, sera un succès. Je la vois faire de très bonnes audiences dans les maisons de retraite de tout le pays, l’ambiance de la série d’origine étant toujours présente. Les anciennes stars qui apparaissent ici, incluant Patrick Duffy et Linda Gray en tant que Bobby Ewing et Sue Ellen, semblent se reconnecter et le public oubliera une certaine inélégance dans le style." ***
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Selon le Washington Post :
"Ce que j’aime dans la version de Dallas faite par TNT, c'est qu’elle est restée fidèle à la duperie et le désespoir qui ont marqué la série originale. Dallas, tragédie épique de toujours, utilise des ficelles contemporaines vues dans Desperate Housewives (...), Revenge, et même dans certaines telenovelas, tandis qu’elle évite les pièges dans lesquels est tombée la pétillante GCB d’ABC. La nouvelle version a aussi l’intelligence de prendre en compte les treize années de souffrances que les personnages ont traversées, au lieu de faire comme si rien ne s’était passé. Non seulement Hagman est de retour en J.R. (un miracle permis par la médecine moderne), mais Patrick Duffy est également de retour en Bobby et Linda Gray, en Sue Ellen. Il est vrai qu’ils sont beaucoup plus vieux que vous ne l’auriez imaginé, mais aucun d’entre eux ne prétend être quelqu’un qu’il n’est pas. Ils sont juste des survivants endurcis. (…) Vous oublierez la raison pour laquelle vous avez pu les mépriser et vous vous rappellerez la raison pour laquelle vous les avez adorés. Ainsi sont les retrouvailles. (…) Metcalfe s’en sort bien à la surprise générale dans son rôle de Christopher, qui lutte pour ne pas oublier les leçons sur la droiture que lui a enseignés Bobby alors que sa famille se caractérise par un penchant pour la trahison. John Ross apparaît comme la véritable faiblesse du show : la prestation d'Henderson est à mettre aux oubliettes, et est loin d’être l’incarnation attendue d’un J.R. plus puissant et plus méchant. Cependant, grâce au reste du cast, le nouveau Dallas gagne en intensité et dépoussière un peu le genre." ***
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Selon Zap2It :
“Dans son entreprise de garder les fans de la première heure heureux, Dallas version TNT est une réussite : elle garde le même thème musical, le même design sur les crédits et va même jusqu’à garder le même ordre alphabétique des acteurs. Malgré tout, les intrigues de la jeune génération d’Ewing ne sont pas aussi captivantes que les retrouvailles avec J.R et Bobby. (…) Dallas joue encore sérieusement de ses twist et retournements de situations, ce qui reste cohérent avec la série originale, mais est en décalage avec ce qui se fait aujourd’hui, le modèle type de soap de prime time. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose. Un Dallas post-moderne aurait été beaucoup plus difficile à concevoir et aurait immanquablement conduit à une aliénation des vieux fans sans même parvenir à en attirer de nouveaux. Le nouveau Dallas ne change pas la donne, mais est un show solide, facile à suivre comme pouvait l’être son prédécesseur." ***
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Selon The New York Times :
"Dallas est une série qui a cassé les codes en son temps en mettant en scène les personnes fortunées, et en particulier, un vilain héro obséquieux en la personne de J.R., incarné par Larry Hagman; et sa femme livrée à elle-même dans l’apitoiement, Sue Ellen (Linda Gray), qui portait des tenues chères tout en agitant un grand verre, symbole de son sérieux penchant pour l’alcool. Mercredi, TNT a ressuscité Dallas mais cette version n’est pas à la hauteur des attentes. Cette version est une pâle copie de l’originale manquant de ses éléments les plus provocateurs." **
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Selon HitFix :
“Les sourcils de Larry Hagman sont un personnage à part entière dans la nouvelle version de Dallas. Ils sont beaux et terrifiants, blancs et chers et à la fois un signe de la fragilité de la vieillesse mais également de l’endurance de l’une des plus grandes stars de la télévision. (…) Dallas est un soap opera traditionnel et sans complexe. Plutôt que de ramener le soap classique en 2012, la série n’hésite pas à faire des clins d’œil à l’originale des années 80 – quand une femme pointe une arme sur J.R celui-ci rétorque 'Les balles ne semblent pas avoir beaucoup d’effets sur moi, chérie'. Et c’est bien. Dallas devient Dallas. (…) Les trois anciennes stars sont de retour, et même s’ils ne sont pas mis de côté, la série se concentre d’avantage sur la nouvelle génération d’Ewing et comment Christopher et John Ross, les fils de Bobby et J.R, ré-adoptent la dynamique du bien contre le mal de leurs pères. (…) En général je ne suis pas fan du genre mais Hagman est un de ces acteurs dont les compétences et le charisme transcendent un manque d’intérêt pour le reste. Je ne pense pas vraiment regarder beaucoup de ce nouveau Dallas, mais je suis content qu'il existe, et que Hagman et ses sourcils fonctionnent toujours." **
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Selon USA Today :
"TNT n’a pas vraiment relancé Dallas, mais l’a plutôt exhumée. (…) Ici, l’histoire de la famille se répète, chose pratique pour les scénaristes qui peuvent ainsi simplement recycler de vieux complots. (…) Les plans machiavéliques et les trahisons abondent et sont mélangés aux luttes aux corps à corps, regards cupides, opportunités qui se ferment pour laisser la porte ouverte à d’autres, éléments dont semble affectionner le genre. Et n’ayez pas peur de vous sentir perdus, car les personnages vous expliquent lors de scènes fréquentes ce qu’ils ont fait et ce qu’ils veulent, mais en réalité, vous n’avez nullement besoin de telles explications. Il ne fait aucun doute que certains de ceux qui ont adoré le Dallas original vont retrouver ce nouveau Dallas enchanteur. D’autres seront uniquement attirés par l’atmosphère de boy scout qui se dégage, des plans vastes de forêts aux dialogues parfois à la limite du ridicule. Et pour le reste d’entre nous, nous pouvons être satisfaits que la télévision offre un large panel d’autres choix pour l’été." *
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Selon le Hollywood Reporter :
“Voilà ce que vous devez savoir (écrivez le quelque part au cas où vous l’oublieriez dans 5 minutes) : Dallas est épouvantable. Peu importe le nombre d’excuses guilty pleasure que vous avez trouvés pour la série originale, si vous êtes encore en vie pour vous en souvenir, il n’y a aucune excuse valable pour la regarder aujourd’hui. C’est du proxénétisme de la pire espèce. L’écriture est grossière et trop prévisible, le jeu d’acteur est comique, et rien de tout cela n’est amélioré par la mise en scène, qui met l’accent sur des gros plans des acteurs choqués/horrifiés, en s’y attardant trop comme s’il s’agissait d’une parodie de soap opera du Saturday Night Live, mais ça, personne ne l’admettra." *
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