Pour la sortie Blu-Ray et DVD de "Skyfall", découvrez 50 anecdotes sur la saga James Bond... Dossier réalisé par G.M.
12- L'incontournable Requin :
Pour le rôle du célèbre Requin, géant patibulaire aux mâchoires d'acier visible dans L'Espion qui m'aimait (1977) et Moonraker (1979), les producteurs avaient initialement envisagé David Prowse - c'est lui qui se cache sous la panoplie de Dark Vador dans Star Wars - et Will Sampson, le chef indien de Vol au-dessus d'un nid de coucou. Finalement, ils jetèrent leur dévolu sur Richard Kiel, acteur au physique hors norme notamment aperçu dans Plein la gueule aux côtés de Burt Reynolds. A noter que ce personnage n'eut qu'une seule ligne de dialogue dans les deux films réunis.
13- Le S.P.E.C.T.R.E. enfin personnifié :
Pour les besoins de On ne vit que deux fois (1967), Donald Pleasence rejoignit le casting au dernier moment. Il vint en effet remplacer le comédien qui devait incarner Blofeld, à savoir le Thécoslovaque Jan Werich, contraint de se désister pour des raisons de santé. C'est également le premier Bond dans lequel on voit le visage du chef du S.P.E.C.T.R.E.
14- Christopher Lee remplace Jack Palance :
A l'origine, le rôle de Scaramanga, L'Homme au pistolet d'or (1974), avait été conçu pour Jack Palance. Mais ce dernier préféra décliner la proposition des producteurs. Une chance pour Christopher Lee trop souvent cantonné au registre de l'épouvante et désireux de s'ouvrir à un plus large public.
15- David Bowie dans la peau de Zorin :
Oui, ça l'aurait superbement fait ! Mais la rock star préféra se contenter d'une petite participation dans Série noire pour une nuit blanche plutôt que de jouer le méchant mégalomane et psychopathe de Dangereusement vôtre (1985). Un rôle en or dont se délectera finalement Christopher Walken.
16- Une figure "lonsdalienne" :
Dans le Moonraker écrit par Ian Fleming en 1955, le personnage de Hugo Drax est décrit comme une figure "lonsdalienne". Jolie coïncidence, 24 ans plus tard c'est Michael Lonsdale qui incarne ce grand méchant dans le film homonyme. Un rôle qui aurait bien pu lui empêcher, puisque Roger Moore et le réalisateur Lewis Gilbert lui avaient préféré au départ James Mason.
17- Sarkozy, un modèle de bad guy :
Pour approcher le rôle du "bad guy" Dominic Greene dans Quantum Of Solace (2008), l'acteur Mathieu Amalric s'est inspiré du regard et de la gestuelle du Président Nicolas Sarkozy.
La bande-annonce de "Quantum Of Solace"
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