Avis aux amateurs d'horreur ! Organiser une nuit de la peur pour vous et vos amis, c'est possible grâce à ce dossier qui vous aide à concocter votre programme à travers quarante thématiques... Attention, ce dossier est non-exhaustif : nous avons dû faire des choix... Certaines images peuvent par ailleurs heurter la sensibilité des lecteurs, notamment les plus jeunes.
Puppet Master de David Schmoeller (1989)
Le pitch - Un fabricant de poupées trouve une formule égyptienne permettant d'insufler la vie à des objets inanimés. Il la teste sur ses poupées qu'il nomme les Puppet Masters, avant de mourir. Mais quelques années plus tard, les Puppet Masters reviennent à la vie...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que la poupée vedette du film, un pantin de bois répondant au nom de Blade, est un pur personnage de cinoche et que rien que pour lui, le film vaut le déplacement. On vous aura prévenu : celui qui possède une lame et un crochet en guise de main a un sourire en travers du visage mais est un vrai sadique !
C'est culte ! Le personnage de la poupée Leech Woman, qui crache des sangsues pour tuer. Bien glauque…
L'anecdote qui tue - Dans la grande tradition des sagas horrifiques à rallonge, Puppet Master a donné naissance à pas moins de huit suites. Si vous vous sentez de taille pour le défi…
Les Clowns tueurs venus d'ailleurs de Stephen Chiodo (1988)
Le pitch - Une météorite portant en elle des clowns assoiffés de sang tombe sur la Terre. La bande de clowns commence alors à tuer tous les habitants d'une petite ville à coups de gags mortels...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que, tout simplement, il faut être un peu barré pour imaginer un film comme celui-là ! Parce qu’en détournant l’image sympa et innofensive du clown de notre enfance pour en faire un monstre complètement barge, Stephen Chiodo parvient à obtenir le décalage gagnant qui transforme un nanar en film culte. Et puis parce que ces clowns sont vachement bien faits, et qu’ils font rire autant que flipper.
C'est culte ! Comment un clown peut-il bien tuer ? Avec une tarte à la crème, pardi !
L'anecdote qui tue - Le réalisateur Stephen Chiodo a travaillé sur la création des marionnettes de Team America police du monde, le film de Trey Parker, créateur de South Park.
Jeu d'enfant (premier volet de la saga Chucky) de Tom Holland (1988)
Le pitch - Pour ses six ans, Andy Barclay est comblé. Sa mère lui fait cadeau d'une poupee parlante, joufflue à souhait, nommée Chucky. Andy est fou de sa poupée et lui seul connait son secret. Chucky sait faire bien des choses, elle est même capable de tuer...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que le film, qui est le premier volet de la saga Chucky (5 films), parvient à la fois à être divertissant et effrayant. On n’est jamais véritablement à l’aise devant ce personnage de poupée, de celle, familière, que beaucoup d’entre nous avons sur une petite étagère. Ce personnage au visage déformé, sa salopette bleue, son rire démoniaque, son couteau ensanglanté… Divertissant, certes, mais un peu glaçant !
C'est culte ! La scène où l’héroïne tente de jeter Chucky dans la cheminée. La réaction de la poupée sera pour le moins violente…
L'anecdote qui tue - Dans la poupée Chucky, il y a l’âme d’un tueur en série répondant au nom de Charles Lee Ray, une référence aux criminels américains que sont Charles Manson, Lee Harvey Oswald et James Earl Ray.
Destination finale 3 de James Wong (2006)
Le pitch - Pour fêter la fin de l'année scolaire, Wendy et ses amis ont décidé de se retrouver dans un parc d'attractions. La soirée s'annonce comme la plus fun de l'année. Pourtant, au moment d'embarquer dans un immense roller coaster, Wendy a un terrible pressentiment. Alors que tous les autres se moquent d'elle, elle quitte l'attraction avec Kevin. Quelques instants plus tard, horrifiée, la jeune fille voit les wagons lancés à toute allure sortir des rails à une hauteur vertigineuse, tuant ses amis. Elle et quelques autres viennent de manquer le rendez-vous que leur avait fixé la mort. Ils vont découvrir que ce n'est pas forcément une chance.
Pourquoi le (re)voir ? Parce que sa scène d’ouverture s’attaque à l’un des loisirs favoris de notre enfance : le parc d’attraction. Et parce que, à l’instar de toutes celles de la série qui sont comme un petit film dans pour le film, elle est incroyablement efficace. Alors, à ceux qui flippent déjà à l’idée de se taper pour de vrai un Grand 8, on vous recommande de regarder cette scène avec un coussin devant les yeux !
C'est culte ! La manière dont les créateurs de la saga parviennent, autour du même concept, à maintenir l’intérêt avec de nouvelles idées "mortelles" pour proposer un divertissement toujours aussi fun, c’est assez culte, non ?
L'anecdote qui tue - La fameuse scène d'ouverture du film a été réalisée dans un parc d'attractions de Vancouver, au Canada. Les scènes ont été tournées durant trois nuits et les jeunes acteurs ont fait jusqu'à... trente tours de grand huit par nuit pour obtenir de bonnes images !
Dead Silence de James Wan (2007)
Le pitch - Un homme revient dans sa ville natale pour enquêter sur la mort mystérieuse de sa femme. Au fur et à mesure de ses recherches, il apprend que ce meutre pourrait avoir été commis par le fantôme d'une ventriloque continuant à vivre à travers ses marionnettes...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que le film d’horreur centré autour des ventriloques, c’est suffisamment rare pour être souligné et que cela impose d’emblée une sacrée ambiance. Parce qu’on y rend hommage à un cinéma de la peur traditionnel, proche des films de la Hammer et des films italiens avec Mario Bava. Et parce que le réalisateur James Wan est un spécialiste du genre horrifique : c’est en effet lui qui a écrit et réalisé le premier (et plus réussi) volet de la saga Saw, saga dont il est ensuite resté le producteur.
C'est culte ! Si vous cherchez bien, vous pourrez apercevoir parmi la centaine de poupées du film, celle de… Jigsaw, l’effrayant personnage de la saga Saw.
L'anecdote qui tue - On retrouve dans Dead Silence une partie de l’équipe technique de la saga Saw. Même l’un des acteurs de la saga, en l’occurrence Donnie Wahlberg, le frère de Mark, figure au générique.
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