Avis When Heroes Fly

Une série qui avait bien démarré et puis qui se perd dans trop de directions. Cela devient vite confus , trop ambitieux, et on n'y croit plus . Le mélange d'une intrigue policière , amoureuse, avec un dénonciation de la corruption , rajouté l'histoire d’une secte, et de mafias de la drogue, et le symptôme post -traumatique , cela fait beaucoup pour une petite série .Il y a aussi beaucoup de lenteur dans la dernière partie ,car on sent la volonté de gagner des épisodes . IL est même difficile d'aller jusque' au bout. Les acteurs sont très bons , et les paysages de Colombie aussi, mais ce n'est pas suffisant

Si dans l'ensemble, la série reste de bonne facture, elle comporte quelques maladresses qui lui confère un charme certain.
Comme la plupart des séries israéliennes (qui s'exportent bien à l'international), on sent la volonté de bien faire, mais cette volonté est plombée par des dialogues souvent insipides, une mise en scène correcte mais sans originalité et un casting intéressant malgré la présence de Ninet Tayeb bien plus douée en chanteuse qu'en comédienne tant ses réactions sont davantage jouées que ressenties. Tomer Kapon (Aviv) ainsi que Michael Aloni (Dotan) se distinguent coté masculin alors que Vanessa Chaplot (actrice colombienne qui incarne la compagne de Benda) a été mon coup de cœur. Le final est très réussi malgré des longueurs évitables sur l'ensemble de cette première saison.

Je ne serai pas aussi enthousiaste, j'ai lu des critiques dithyrambiques mais j'ai pas mal accroché. D'abord, j'aime beaucoup Tomer Kapon car ayant joué dans Hostages( version originale israélienne) une des séries qui me l'a le plus marquée, je garde pour cette acteur une certaine tendresse. Je pense que cette série est bourrée de défauts comme l'utilisation des flash back, une facilité dans le récit dont on use et on abuse beaucoup trop; une histoire qui piétine par moment et surtout rien de bien nouveau ni passionnant même s'il est bon de rappeler ce qu'est les post traumatismes de la guerre, les américains nous l'ont déjà servi maintes et maintes fois avec leur Vietnam. Mais mais, il y a ce charme indéfinissable des séries israéliennes qui m'enchante, When héroes fly n'y échappe pas et moi, je marche à chaque fois.

Que c'est lent et pénible à suivre avec ces flashbacks assez courts mais continuels. Au lieu de nous éclairer, ils nous embrouillent plutôt. Je n'ai pas pu aller au bout tellement ça traine sans faire avancer l'histoire. Impression de remplissage comme dans beaucoup de séries médiocres.

Une découverte tout simplement magnifique ! Acteurs au top, bon scénario, paysages splendides... dix épisodes qui nous tiennent en haleine jusqu'à la fin.

J'ai adoré cette série très prenante. Les acteurs sont au top, scénario au top.
A voir sans modération.

Une série tout simplement envoûtante. Elle m'a absorbé des le premiers épisodes. La présence de Ninet Taieb, sa beauté et son charisme rappelle les grands films américains.
Je conseille vivement

Si le scénario éveille parfois la curiosité, les ressorts dramatiques peu crédibles ne manquent pas. Comme ces trafiquants qui traînent à détaler quand ils sont découverts, des ordres assassins donnés à de féroces hommes de main armés jusqu’aux dents, qui pourtant ne tuent qu’à moitié, une policière doublement victime, mais plus que jamais magnanime, des adeptes d’un culte secret dont on comprend peu l’objectif, un cancéreux dont la bonne forme physique fluctue selon les circonstances du moment, et un dénouement très cliché. En plus de ces incongruités, Omri Givon multiplie les maladresses. En étirant exagérément certaines scènes, l’émotion qu’il veut susciter disparaît pour laisser place à un pathétisme pesant. En outre, le réalisateur Israélien choisit une structure narrative très lente, et dont l’aspect haché vient des fréquents flashbacks spasmodiques. Résultat, on passe le plus clair de la saison à s’ennuyer comme des rats morts. Si le roman n’est pas inintéressant, ce n’est en tout cas pas la série Israélienne la plus réussie.

Les premiers épisodes : vraiment intéressants. Mais à compter du sixième épisode, cela devient du grand n'importe quoi.
Lent, chiant, le scénario ne tient plus la route et devient pénible à force d'incohérences. Dommage !
Nous sommes bien loin du merveilleux Hatufim.

Excellente série ! Elle est extrêmement prenante. Les acteurs sont vraiment très bien, le scénario est palpitant, c'est à voir de toute urgence ! Je vois sur allo-ciné que 2 saison sont tourné à quand la prochaine saison sur Netflix

Un premier épisode de combat militaire au Liban réussi mais la série continue sur le sujet du trouble postromantique et nous fait voyager en Colombie à la recherche d’un amour perdu.
Une série qui se regardent d’une traite.

Pas trop mal avec quelques déceptions, notamment par la longueurs de quelques plans et des épisodes à rallonge (8 épisodes auraient largement suffis), un final bien trop attendu (roman), le coté métaphysique trop présent et les allers/retours incessants (pénibles). Le reste est excellent, surtout pas le jeu d'acteurs et plus particulièrement Tomer Capon ("Fauda", Hostages") et les émotions passées. 3/5 !!!

Fan de séries israéliennes.Au moins les israéliens parlent hébreu entre eux contrairement aux films américains.Même si cette série est inférieure aux autres (elle traîne vraiment en longueur),elle se laisse voir .Mais qu'elle est insupportable cette mode actuelle qui consiste à nous saouler de flash-back incessants:5 minutes maintenant ,5 minutes il y a 15 ans ,5 minutes maintenant,5 minutes il y a 5 ans et ainsi de suite toute la série.C'est pénible à suivre.Ça n'apporte rien.En fait c'est sûrement parce que ça permet de faire 9 heures quand 3 ou 4 auraient suffit.

Excellent série ! Je cherchais quelque chose à regarder et suis tombée par hasard dessus. J'ai enchaîné les épisodes. Une critique toutefois, certains épisodes sont un peu lent et se répètent.
L'équipe d'acteurs est excellente

Excellents acteurs, bonne mise en scène, dialogues bien construits, assez denses. Quelques longueurs, un léger abus de flash backs.
Le scénario est un peu un patchwork de thèmes déjà vus (disparition mystérieuse, syndrome post traumatique, destins divergents d'amis d'enfance), mais leur agencement est intéressant.
Les deux derniers épisodes sont moins intéressants : à la fois plus convenus et moins vraisemblables, avec en plus de longs épisodes de délires hallucinatoire de deux des personnages qui finissent par être lassants en ralentissant exagérément l'action.
Pour ma part cette série vaut surtout par cette sorte de huis clos itinérant que constitue la recherche dès la 4 amis, qui se transforme en une véritable quête sur le sens de la vie et de ses valeurs.