Là où Dieu n'est pas

Mehran Tamadon a été, comme beaucoup d’Iraniens de sa génération, contraint à l’exil. En 1984, encore adolescent, il s’installe en France avec sa famille, fait des études d’architecture et devient finalement documentariste. Il retourne souvent en Iran et essaie d’y rencontrer ses « pires ennemis » pour nouer avec eux un impossible dialogue. Il en tire deux documentaires, en 2009 et en 2014, "Bassidji" et "Iranien", remarquables ...
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Ce documentaire qui relate l’interview de 3 iraniens exilés restitue bien les conditions de leur détention en Iran. C’est une véritable reconstitution filmée en France à laquelle se livre le réalisateur iranien. On assiste ainsi durant ce documentaire aux témoignages difficiles et poignants de ces trois victimes du régime islamique iranien et aux interrogations que tout cela engendre. Ce film bien réalisé traduit bien cela.

Bernard CORIC

j'avais apprécier le film Iranien; j'ai été perplexe avec (Le Bassidji) notamment les interprétations qui pouvaient en faire certaines spectatrices religieuses.... le point commun que j'ai trouvé entre (iranien) et (Là où Dieu n'est pas ) c'était cette naïveté de penser que si un tortionnaire de régime visualise le film il pourrait éventuellement se remettre en question ou dans le film ( Iranien ) croire qu'on puisse ...
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j'avais beaucoup apprécié le film Iranien de Mr Tamadon , j'ai été perplexe avec le Bassidji et son interprétation par les filles voilées dans la salle ce qui lie (Là où Dieu n'est pas) et (Iranien) c'est cette vision Naïve de ce qu'il est l'islam et le régime iranien . a croire que un tortionnaire de régime en regardant le film pourrait se remettre en question, ou dans Bassidji croire qu'on pourrait parlementer avec les mollahs ...
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